C'était la première fois qu'il sortait vraiment de chez lui. Ahkr ne connaissait pas le monde qui l'entoure, mais il savait quelle est sa tâche ! Mais pour y arriver, il doit avant tout s'équiper pour. Le chemin fût long et éprouvant, mais grâce à des connaissances des connaissances de ses connaissances, il trouva un moyen sur de ce rendre dans cette ville sèche.
Premier arrêt, un magasin d'armure !
Le voilà donc entrant dans cet édifice humain. Malgré la rustre apparence, Ahkr était fasciné. Comment les humains peuvent-ils avoir aussi mauvais goût ? Peut-être que le gérant était forcé par une raison quelconque. Mais après tout, ce n'est pas à lui de juger les goûts des autres. Chacun a le droit d'aimer ce qu'il veut.
Quoi qu'il en soit, Ahkr choisi deux élément qui lui plaisait visuellement, et qui de plus semblait adapté à sa tâche : une Armure Oseau et une coiffe feuillue.
L'argent qui lui a été donné à son départ sembla vite être utile.

Suivant les conseils de son ancien mentor, le premier arrêt de Shane fut à la boutique d'armes. Elle se crispa dès qu'elle entra dans la salle remplie d'arme. Une partie d'elle était beaucoup trop enthousiaste à l'idée de se trouver dans un endroit avec une telle concentration d'objet ayant le potentiel de commettre un massacre. L'autre était dépitée d'un tel engouement.
Réprimant une grimace, elle fit rapidement son choix. Elle se refusa toutes les armes qui, trop encombrantes, risquaient d'encombrer ses mouvements. Des épées, des arcs... Voilà des choses qui la dégoûtaient à la seule pensée de devoir escalader un mur en les portant.

Finalement, son choix se posa sur une griffe commune. Elle avait déjà vu des gens en utiliser de semblable et savait comment cela pouvait être efficace. De plus, son utilisation se rapprochait beaucoup du combat à main nues classique, sur lequel Shane se rabattait systématiquement dès qu'un combat dérapait.

Pour l'armure, elle se contenta de prendre la plus légère dans la mesure de ses moyens : une armure de cuir. L'odeur du cuir plutôt mal tanné n'était guère appréciable, mais l'était sans doute bien plus que des blessures.

Elle paya ses achats, dépitée de voir ce qu'elle avait considéré un instant comme sa fortune se faire ainsi dilapider, puis quitta prestement la boutique pour continuer sa route.

Il était temps pour Simor d’acheter de l’équipement, il entra dans la boutique et prit un moment pour observer les articles, son choix se portait sur une épée, même si ça n’était pas son arme de prédilection il savait s’en servir, il jura à voix basse qu’il aurait son bâton et qu’il ne devrait plus utiliser ces arme rudimentaire et barbare, pour le moment il n’avait guère le choix.
Il se présentait donc au comptoir et il s’adressa au marchand :

« Mes salutations marchandes, je voudrai acquérir cette épée courte » il désigna de son doit l’épée en question. Quand l’achat fut effectué, Simor s’inclina respectueusement et prit le chemin de la sortie, deçus du piètre achat qu’il venait d’acquérir.

Pour le Marchand !!!! a regarder ^^:

La porte s'ouvrit. Un homme tout de noir vêtu entra.

La porte était celle d'une boutique d'arme assez mal-famée et l'homme n'était autre que Buck, le bras droit de Lord Seymour Oxymore. Le noble s'approcha du comptoir et y déposa une bourse pleine de pièces d'or.

- Il nous faudrait une arme digne d'un noble. J'aurais voulu fréquenter un autre établissement mais mon maître à insisté pour s'en procurer une chez vous.

Le marchand examina la bourse et disparu dans l'arrière boutique. Il réapparu moins de deux minutes plus tard en tenant une masse informe.

- Hum... Un tel bâton de combat n'est pas digne d'un noble, marchand.

- Et bien vous reviendrez lorsque la paye sera meilleure dans ce cas.

Buck s'empara de l'arme et tourna le talons en direction de la sortie.

Spoiler:

La porte grinçait, ce qui annonçait la venue d'un nouveau client, ce grincement servait sans doute de clochette improvisé et servait bien dans ce but. Mais ce n'est qu'un détail infime que notre ambitieux blond semblait ignoré, il était là pour s'armer plus efficacement pour l'extérieur de la ville.
Cette faune et cette flore si hostile à tout être doué d'un peu de conscience.
Sans sortir un son de sa bouche, Maximillian s'empara d'une Lance Poussiéreuse, jaugeant son poids et la testant en donnant quelque coup dans le vent avant de la ranger dans son dos, il fit de même avec une Épée Brisée qui trônait sur un mannequin, sans jauger le poids de cette arme, il la rangea dans le fourreau vide qui se situa à sa taille avant d'avancer, dans un air assuré et d'un pas certains vers le comptoir où le marchand attendait.

"Un prix..."

"Je crains que ces armes ne soient pas à vendre, vu leur état lamentable, mais je peux vous conseiller autre chose"

"Le Prix ! Je n'ai pas de temps à perdre !"

Le vendeur se mit à réfléchir, regardant les armes de plus près malgré le fait qu'elles soient entre les mains du futur empereur.

"Le tout fera 20 pièces d'or, cela sera tout ?"

"Mettez-moi une Armure de Plates avec"

Le marchand obéit sans discuter et mit l'armure sur le comptoir avant de réclamer une somme d'argent plus conséquente qui vida presque entièrement la bourse du jeune futur empereur, ce dernier retira trois malheureuses pièces d'or de sa bourse avant de jeter cette dernière sur le comptoir et de s'en aller, avec autant de silence qu'à son arrivé.

Pour Mr le Marchand:

Le soleil était à son zénith et les quarante degrés d'aujourd'hui furent très douloureux à supporté pour cette humble nain qui venait d'entrer dans la ville où l'ombre était un peu mieux que le soleil. Son premier objectif était un nouvel équipement, pour pouvoir mieux tenir la route, le jeune pas dans les rues et les ruelles et tomba sur une boutique d'armes qui ne laissait pas a désirer, passant la porte, le troglodyte scruta chaque armure et armes et prit une casque rouillé, une armure et plates et une hachette.

« Hey l'ami ! Je te prends ça » dit-il en reprenant une pièce d'or pour qu'il y ait le compte pile.

- Hé bien bonjour mon cher marchand comment vas-tu ?
- Mmmmmm ... que voulez vous ?
- Je souhaiterais vous acheter une paire de bottes
Il me dévisageait et fixa mes pieds nus.
- Un abyssal avec des bottes mais quel drôle d'idée
- J'en ai besoin le sol dans les terre est bien trop dur pour moi ...
- Et bien je ne refuserait pas de vous vendre je suis toujours prêt à servir mes clients. (il afficha un grand sourire).
- Je voudrais des Bot'aria.
- Hum ... (il me dévisagea de nouveaux on aurait dit qu'il me jugeait ... je compris aussitôt)
- J'ai l'argent pour lui dis je en lui tendant ma bourse.
- Pas de problème elles sont à vous ...

Je venais d’arriver devant une échoppe qui me semblait de belle facture. En vérité toute la petite rue semblait plutôt bien bâtie. Cette partie de la ville semblait pour le moins aisé. En vérité, les façades étaient toutes magnifiquement sculptées, mais ils semblaient qu’elles cherchaient toutes à copier celle de cette boutique, mais jamais sans pouvoir l’égaler. Elle me semblait donc de plus en plus énigmatique, je décidais donc d’entrer, car mon épée ouvragée bien que magnifique ne m’était pas d’une grande utilité, elle était déjà très émoussée et la marque de mon maitre, la plaque qu’il y avait fixée c’était décroché lors de mon dernier combat, et je comptais bien la fixer sur ma nouvelle épée. En ouvrant la porte, je découvris une pièce remplie d’arme et armure. Mais à mon plus grand étonnement, il n’y avait que des marteaux et des haches. Et les armures bien que de toutes tailles semblaient énormément lourdes. Je vis alors le vendeur, EN DOUBLE !!! L’un des doubles me dit alors être vendeur d’armes au même moment que l’autre me dit être tailleur. Je compris alors d’ou venais la beauté de la façade, et surtout qu’il s’agissait de deux frères. Je leur dis que je recherchais une arme. Ils se regardèrent donc tous deux d’un sourire amusé tout en évaluant furtivement quelle somme contenait ma bourse. Elle contenait tout juste cent pièces d’or depuis la vente d’une bille de bois que je venais de vendre. Le vendeur d’armes s’approcha alors de moi et me proposa un Mag'marteau, comme il l’appelait. Bizarrement bien que je cherchais une épée je fus immédiatement saisi par la beauté de l’arme, je leur demandais alors s’il était possible de souder ma plaque que je sortis de ma poche au marteau. Il m’affirma qu’il n’y aurait pas le moindre problème. Je luis demandais donc s’il pouvait m’aiguiser par la même ma hache de bucheron. Et là encore, bien qu’étonné de voir une vielle hache de guerre naine transformée en hache de bucheron il accepta. Et c’est à ce moment-là qu’il me proposa de faire tout cela pour cent trente pièces d’or. Je fus sidéré je n’en avais que cent... C’est alors que me vint une idée je lui proposais de lui donner mon épée en échange des trente pièces manquantes. Et, après quelques minutes de réflexion, son frère et lui acceptèrent tout bonnement et simplement.

  Après la transaction ils me dirent qu’il reforgerait peut-être mon épée de façon à en faire une belle arme naine. Et, je leur dis que peut-être un jour je la rachèterais. Je ressortis donc quelques minutes plus tard un lourd marteau de guerre accroché fermement dans le dos. Je me sentais prêt à affronter le monde.

Hevoria franchit la porte du magasin. Les clients présents dans la boutique se tournèrent vers elle et la dévisagèrent. Tandis qu'elle déambulait dans le magasin, le bruits de ses pieds nus sur le plancher se mêlait à la masse de chuchotements des observateurs.

"Quelle étrange femme..."

"T'a vu tout ces tatouages sur son corps"

"C'est quoi sur sa tête, un crâne de...démon ?"

"C'est humain au moins ?"

« Eh bah, elle a pas froid la petite »

Hevoria ne prêtait attention à ces remarques. Elle n'était arrivée en Duralàs que depuis peu mais avait déjà eu le droit à son lot de remarques incongrues. Cependant, elle restait impressionnée par le fonctionnement de ce nouveau continent . Dans la nature, chacun se sert selon ses besoins, tout est à disposition. Ici, ils utilisent de l'argent pour améliorer leur vie. Quel étrange rituel...Et bien s'il faut respecter leurs traditions, soit.

Le regard d'Hevoria parcourait les vitrines de la boutique à la recherche des nouveaux équipements. Sa lance s'était cassée lors de sa dernière partie de chasse et une protection supplémentaire serait la bienvenue.

Une voix l’interrompit dans sa recherche

Madame ? Mad...je peut vous appeler madame ? Balbutia le marchand, visiblement troublé.

Oui, qu'y a t-il ?

Je...Huum...Je suis le propriétaire de cette boutique, peut-être puis-je vous renseigner sur un quelconque article ?

Je prendrais ça, ça et...ça.

Ah ! Donc vous prendrez une Cuirasse de Lierre, des Bottes de cuir  et...une Poussi'faux ? Le marchand se retourna un instant vers la jeune femme et tomba nez à nez avec le crâne de démon ornant le visage d'Hevoria.

Le marchant poussa un cri de stupeur

Un problème monsieur le marchand ? Dit-elle, en penchant légèrement la tête sur le coté.

Oh non aucun, rassurer-vous. Des gouttes de sueurs perlaient sur son front.

Ce...cela fera 253 pièce d'or madame.

Hevoria déposas sa bourse d'or sur le comptoir puis se saisit de ses achats avant de sortir de la boutique sous les yeux écarquillés des clients.

Merci madame ! Au revoir madame ! Lança t-il avant de pousser un soupir de soulagement lorsque celle-ci quitta son magasin.

Pourquoi ma boutique est un aimant à clients étranges ?

J'étais joyeux, je me baladais dans la ville, quand je vis une belle vitrine où était entreposé des armures. En les voyant je me rendis compte que mon poitrail n'était pas très protégé. Je pris donc l'initiative d'en acheter une. J'entrais par conséquent dans la boutique. Le marchand me souris.
" - Je sais ce qu'il vous faut, une armure légère mais pouvant tout de même vous protéger.
- C'est exactement ce que je veux. En auriez vous pour une centaine de pièce d'or."
Après mon argument monétaire le marchand parut dépiter. Mais il reprit vite le sourrire.
" - Bien sur elle coute 120 pièce d'or", l'homme était habitué aux affaires et avait jugé avec précision l'argent dont je disposer."
Je marchandais donc le prix en prétextant d'autres achat nécessaire après quoi il me céda l'armure pour 108 pièce d'or.

Hevoria déambulait dans l'une des nombreuses ruelles marchandes de Stellaraë. Les ressources qu'elle avait vendues, issues de ses dernières séances de chasse, lui avait permit d'amasser une somme d'argent plutôt conséquente. La chasseuse entra donc dans une boutique afin de faire fonctionner la machine économique du monde Duralassien.

Pourquoi j'ai la désagréable impression d'être peu à peu dévorée par ce système. Soupira Hevoria
Bonjour très chère cliente ! Que puis-je faire pour vous ?
Bonjour...Je voudrais acheter de nouvelles bottes, les miennes sont un peu usagées.
De nouvelles bottes...mais bien sûr ! Voilà tout ce que je possède, faite votre choix.
Je prendrais celles-ci.
Les Bot'aria, très bon choix madame ! Elles vous vont ravir, on dirait qu'elles ont été faites pour vous !
...Reprenez-vous les anciens articles ? Dit-elle en désignant ses bottes de cuir.
Pour la moitié de leur prix d'origine, arrondit à l'inférieur bien évidemment...Alors si je prends le prix de votre achat et que j'y soustrais celui de votre objet, cela vous fera...127 pièces d'or.
Très bien. Voilà votre argent. Dit-elle en déposant la somme sur le comptoir avant de sortir de la boutique avec ses articles.

Mjöll déambulait dans les ruelles bondées de Stellaraë en cette fin d'été particulièrement clémente. Depuis qu'elle s'était engagée sur la voie de l'aventure, la jeune femme n'avait de cesse de s'améliorer, s’entraînant quotidiennement. Après plusieurs aventures, elle s'était rendu compte que son équipement laissait grandement à désirer. Elle commencerait par changer ses vieilles sandales, pratiques pour se balader dans la ville mais largement déficiente lorsqu'elle se battait sur des reliefs abruptes. Il était temps de remédier à ce problème !

Après avoir arpenté, les rues commerçantes pendant des heures, la nordique trouva finalement son bonheur dans une boutique généraliste. Ca tombait bien, elle avait une vieille dague à vendre. Mjöll pénétra dans l'établissement et se dirigea de suite vers le comptoir. Elle dialogua ensuite avec le marchand qui faisait grise mine, Mjöll ne respirant pas l'oseille :

« Je souhaite une paire de Bot'aria s'il vous plaît. » commença-t-elle en posant une dague sur le comptoir avant d’enchaîner :

« Je souhaite aussi me séparer de cette Dague de novice. »

Le marchand examina la dague et annonça la couleur :

« C'est 150 pour les bottes. Enlevez 15 pièces d'or pour la dague. Ce n'est pas discutable. »

La jeune femme n'allait de toute manière pas chercher à marchander, ce n'était pas son fort. Elle se contenta de déposer 135 Pièces d'or sur le comptoir et enfila les bottes. Mjöll salua le marchand et repartit vers l'aventure.