Uma etait remontée vers le nord pour faire une escale a kastalinn. Elle savait que de bon lassos étaient vendus et pensait que c'était essentiel pour partir en voyage: une nouvelle monture ne pourrait qu'être benefique. Après la fuite de son cheval, elle ne pouvait plus continuer à parcourir Duralas sur des chevaux volés, il lui fallait une monture loyal et puissante. Dans tout les cas un lasso lui semblait nécessaire.

Elle poussa donc la porte d'une boutique d'arme et d'armure et se dirigea vers les lassos. Le prix n'était pas un obstacle pour elle et elle prie celui de meilleur qualité sans hesiter. Elle paya 200po et sortit

Maintenant il faudrait que j'apprenne à m'en servir...

J'achète donc un lasso suprême pour 200po. (Je viens de vendre 2400 po d'armes dans la vente d'armes de forgeron)

Mais à la fin de son séjour à Kastalinn, juste avant de partir elle repassa devant la boutique où des lassos étaient vendus. La jeune fille s'y arrêta, voulant être sûr de ne manquer de rien pendant sa traverser de Dùralas, elle mis finalement son pied dans l'édifice.
Regardant autour d'elle Uma regarda les lassos. Elle en avait acquit un peu de jours avant. Mais elle se souvint d'un de ses cheval qui avait fuit en plein combat, elle s'était retrouvé seul à marcher des dizaines de kilomètres à pied pour trouver une ville et acheter une nouvelle monture. Il était certainement plus prudent d'en acheter plusieurs.
Ainsi elle en pris deux et s'avança vers le comptoirs pour régler la somme.

[j'achète un lasso suprême et un lasso amélioré pour la somme de 350 po]

Un véritable temps de chien, il pleuvait à sceau, à un point ou les rues se trouvaient à deux doigts d'être inondées. La mousse et la terre entre les dalles y mettaient tout ce qu'elles avaient pour absorber le plus d'eau, mais rien n'y faisait. De la flotte, de la flotte partout. Évidemment quand on est une guerrière, qui plus, choisie par la déesse de la guerre elle-même, c'est pas des flaques par-ci par-là qui vous arrête. Une idée bien en tête, elle avait entendu parler de ces petites bêtes volantes aux pouvoirs de guérison qui lui serait de grande utilité, surtout après l'idée qu'elle s'était faite des combats en présence la trésorière.

Mais pour ça, il lui fallait un objet très spécial, de quoi l'attraper, alors elle avait fait une boutique, et une autre, et encore une autre, désespérément à la recherche de ce dit objet, jusqu'à celle-là, une vieille façade... Du moins, d'apparence plus vieille que les autres, un charlatan pour certain, une boutique de vieillerie pour d'autre, s'il avait l'objet, elle le prendrait. C'est complètement trempée qu'elle franchit la porte grinçante fait d'un bois d'assez mauvaise qualité qui commençait même à moisir à la base. Il n'y avait personne, à par un vieil homme qui ne lançait que d'étranges onomatopées en s'approchant de la fille. Il lui prit son blouson pour le poser sur un porte manteau moche. Le vieillard, lui fit signe de se mettre à l'aise en la dirigeant vers les articles qu'il vendait.

-J'vous en prie, regardez, regardez.

Il avait une voix très douce, qui ne correspondait pas du tout à son corps, sans vraiment le remercier, elle était absorbée par les absurdités mises en vente, qui voudrait acheter un bâton d'une "autre dimension" ? Après être passée devant le barda dont elle n'arrivait pas à trouver de fin, elle se retourna finalement vers lui.

-Vous avez de quoi attraper une petit truc pas très grand qui vol ?

-Un... Un petit truc pas très grand qui vol ? Hum... Oui, oui j'ai ça.

Il fouilla encore et encore dans le tas d'affaires inutile pour en sortir le dit objet, comme le saint graal sorti des entrailles de la terre. Mais vraiment, c'était bizarre, il le porté très haut à deux mains comme un objet sacré inestimable, alors que bon... C'est juste...

Au milieu de leur traversée des plaines d'Aran, le duo de faunes arriva en vue de la grande ville du nord, Kastalinn. Arhiann ne s'y était pas arrêtée lors de sa précédente visite dans la région, cependant, elle avait songé au cours des jours précédents qu'ils étaient plutôt légèrement équipés pour leur expédition jusqu'aux montagnes du Baldor, et que la cité serait leur meilleure occasion d'y remédier. En plus de cela, elle était curieuse de découvrir la base de la fameuse Milice de la Jarl.

Ils entrèrent donc derrière les puissants remparts, et commencèrent à explorer les rues commerçantes, où l'ensorceleuse se délesta ici et là de quelques pièces d'or. La nuit arrivant, ils s'offrirent même le luxe de louer deux petites chambres dans une auberge kastalinnoise, avant de reprendre leur chemin, bien reposés et un peu plus chargés qu'à leur arrivée, notamment à cause d'un rouleau de corde solide, mais pesante, qui pourrait trouver de nombreux usages.

[achat d'un lasso amélioré (150 PO) svp]

Ingvar s'est arrêté devant une boutique en se grattant la tête. Il n'y est encore jamais allé, et se demande si c'est bien celle-ci. Toutefois, la devanture a l'air de correspondre à ce qu'il se rappelle de la description qu'on lui a donné plus tôt, alors il n'hésite plus, et entre à l'intérieur. Bien que les encadrures de portes soient assez hautes pour laisser passer un grand nordien, elles restaient encore un peu trop petites pour le géant, qui doit se baisser en avançant au travers, avant de se stopper, émerveillé. Tant d'objets, d'armes, d'armures, d'équipements en tout genre, trônent partout autour ! C'est comme tout un tas de lumières pouvant attirer le papillon qu'il est à ce moment-là, tant il s'agit d'une grosse quantité réunie au même endroit ! Même le sol est recouvert d'une sorte de tapis, très confortable pour les pieds nus du Milicien, l'aidant à ne pas réagir tout de suite au marchand l'interpellant.

« J'peux faire quelque chose pour vous, mon gars ? ... Eh Oh !? »

Il ne semble pas trop à l'aise face à un grand gaillard musclé comme celui qui lui fait face, mais passe outre, car après tout, s'il est là, c'est bien pour acheter quelque chose ! C'est Rok, le petit élémentaire de pierre accompagnant le grand dadais, qui arrive à le faire réagir en lui donnant des coups dans la jambe. Il décroche son regard et ses pensées de la vision, et se tourne vers son interlocuteur, sortant un bout de parchemin d'une sacoche de sa ceinture.

« Hein ? Euh, oui oui ! Tenez, on m'a demandé d'prendre ça pour aider, j'ai s'qu'il faut pour payer. »

Alors que le marchand attrape le morceau d'écriture pour voir la liste de courses, le barbare sort également une bourse d'or, qui contient normalement le compte nécessaire aux achats. Peu de temps après, ça a été réglé, et le géomancien peut retourner dans la rue, hors de toute cette distraction.

Achats:

Il faisait froid dans le Nord mais Urua aimait ça. Sa fourrure et sa crinière étaient faits pour tenir de faibles températures plutôt que pour se balader dans la fournaise du désert. C'est pourquoi il appréciait particulièrement ses visites au camp des Dragonniers et ses déambulations dans les villes alentours.

C'est pendant une de ses balades sur un temps de repos qu'il décida d'aller voir ce qu'il se passait du côté du marché. Passant lentement devant les étals et faisant l'inventaire mental de tout ce qu'il pouvait voir de nouveau ou d'intéressant, il s'arrêta devant l'un d'eux où des lassos étaient étendus l'un à côté de l'autre, attendant simplement un aventurier intéressé par la chasse aux créatures plus ou moins dangereuses.

Le Löwen héla le marchand et négocia quelques instants avec lui avant de repartir avec un bout de corde savamment noué qui pourrait lui permettre de repartir avec sa proie.

[Achète un lasso amélioré]

Selsya soupirait en attendant que le travailleur de cuir se décide à revenir de l'arrière-boutique. Cela faisait bien des années qu'elle ne passait plus par ce type de marchands, ayant tissé des liens avec des personnalités croisées lors de ses aventures ou bien préférant des artisans choisis pour leur qualité de travail irréprochable et avec lesquels la faction du Nord préférait travailler.

Cependant, en cette fin de journée, Selsya s'était rendue dans cette boutique précisément car l'une de ses recrues devait de l'argent auprès de ce marchand. La recrue avait passé une grosse commande de Bot'aria, et le marchand ne démordait pas : il voulait s'arranger avec la Jarl en personne, si bien que Selsya décida d'honorer cette requête. Et en guise de bonne foi, elle acheta une dizaine de paires supplémentaires, qu'elle donnerait à un refuge de la ville de Kastalinn.


Achète x1 Bot'aria

Il était temps. Saigo s'était entrainé, il se sentait fin prêt. Plus que quelques préparatifs, et il s'aventurerait enfin dans le Grand Nord. Là-bas l'attendait Rhaast, le troisième et dernier Maître de la Voie vivant sur le continent. Il lui enseignerait le Tueur de Géant, la dernière technique dont il avait besoin pour compléter son arsenal. Bien sûr, avant cela, il devrait trouver le campement du stryge noir. Mais l'Exécuteur supposait que les locaux pourraient le renseigner. Selon Katsuo, le Maître s'était établi dans le Nord depuis des années, il avait forcément tissé des liens avec les tribus locales, ne serait-ce que par pure nécessité commerciale.

Mais avant de se risquer par-delà Kastalinn, Saigo savait qu'il devait s'équiper. Dans une autre vie, il avait parcouru les contrées glaciales de la banquise. Il savait à quel point les conditions seraient rudes. Alors il devait se tenir prêt. Lors de sa rencontre avec Thrynn, à BaldorHeim, le Nordien lui avait confié une pièce en bois. Elle était frappée d'écritures que ni lui, ni Katsuo, ni aucun des Adeptes de la Tour Noire n'avait su déchiffrer. Le guerrier lui avait conseillé de la présenter aux marchands de vêtements chauds de Kastalinn. C'était la raison pour laquelle l'Élu avait pénétré la boutique principale. Posant la pièce sur le comptoir avec calme, il s'annonça sans saluer le marchand :

Il se dit que tu sais quoi faire de ceci... ce n'est pas mon cas. Le prix n'est pas un problème.

[achète le kit de survie]

Achat de @Saigo
x1 Kit de survie	500 pièces d'or
Total	500 pièces d'or

Tu termines la quête « Une contrée glaciale » et tu débloques l'accès au Grand Nord.

Le temps était venu pour moi d'explorer le Grand Nord. J'avais pris, avec l'aval de l'Impérator, quelques semaines de congé afin de m'atteler à l'objectif que je m'étais fixé, il y a des mois de cela, au détour d'une intéressante rencontre au Fourré à la Myrtille: explorer le Grand Nord, venir en aide aux clans les moins guerriers, et inscrire en lettre de sang le nom de Grabuge sur tous les pillards que je croiserais. En une phrase: ramener de la Justice dans ses terres sauvages.

Je m'étais donc préparé à ce voyage en terre inconnue, notamment en déléguant les charges d'Egide à Gribouille, l'Intendant de la compagnie, et les charges de la B.A.K à Karl, le brigadier ailé le plus apte à diriger pendant mon absence. Je leur avais tout de même dit où j'allais, de sorte à être prévenu par missive si jamais le besoin s'en faisait sentir.
J'ouvris la porte de la boutique que m'avait indiqué Thrynn, il y a bien longtemps de ça, et déposai la pièce en bois gelé qu'il nous avait offert à Thorek et moi-même sur le comptoir, avant de lancer, l'oeil déterminé:

"J'ai entendu dire que le Grand Nord avait grand besoin de Justice."

Achat de @Grabuge
x1 Kit de survie	500 pièces d'or
Total	500 pièces d'or

Tu termines la quête « Une contrée glaciale » et tu débloques l'accès au Grand Nord.

Exceptionnellement, je suis convoyée à Kastalinn pour revendre des objets probotyres fabriqués avec le bois que nous récoltons. Je ne suis pas une très grande marchande, et je ne suis pas certaine que les objets fabriqués par les ébénistes probotyres soient d’une très grande finesse dans leur conception, mais soit, je me suis pliée à la demande de ma Matriarche. En vantant un artisanat local probotyre issu des lointaines montagnes du Baldor, je trouve vite un marchand prêt à me prendre toute la camelote, ce qui m’arrange bien.

Enfin, nous n’allons pas faire des économies ou des stocks d’or avec ces ventes puisque l'on m'a demandé de ramener au retour des produits que nous n’avons pas dans les montagnes. Outre les préparations médicales et autres nécessités, j’achète également des confiseries humaines pour nos petits. Chargée de plusieurs sacs, je passe devant une boutique proposant des cordes de toutes sortes pour capturer des animaux sauvages. Krakha m’avait expliqué cela, qu’elle avait dans son temps un sanglier qu’elle avait capturé et apprivoisé. Que cela pouvait fonctionner sur diverses bestioles aussi bien physiques que magiques. Passant ma commande depuis la fenêtre donnant sur la rue (je ne peux pas rentrer là dedans, les plafonds Humains sont si bas…), j’échange mes pièces d’or personnelles contre une corde simple, pour essayer !

Achat Compulsif ! :