Evanna sentait encore la morsure et les griffures de cette chose qui se nommait farfadet et avec laquelle elle avait eut maille à partir dans la fôret de Sylfaën... Peut-être qu'une armure serait utile pour la prochaine fois... se dit-elle, se rappellant que le combat avec ces bestioles n'était pas encore terminé. Elle entra donc dans la boutique du marchand et scruta les étalages. Quelle sorte d'armure ferait l'affaire ? Armure de cuir ? peu probable, trop légère. Armure de plates ? non, trop lourde. Armure de fer ? pourrait convenir...
-Une armure de fer et casque Wilfish, s'il vous plaît.

Lorsque Carendol entra dans la boutique, il fut émerveillé par toutes les chose qui vu. Il y avait des armes et des armures incroyables, cela lui rappela l'époque lointaine où lui-même passait ses journées à forger de pareilles choses.

Il avait déjà une idée de ce qu'il désirait acheter. Le marchand vient à lui et lui dit.
Désirez-vous quelque chose en particulier, chers clients ?
Oui,Je désirais une lance de néophyte pour mon usage personnel,une armure de cuir et des  Sandales.
Ce sera tout cher client ?
Oui.
Ça vous fera donc 57Pièces d'or.
Merci, au revoir.
Il s'équipa donc de ses achats. Prêt à partir pour l'aventure.

J'entrepris, malgré le manque d'argent qui ce fait sentir, par la cause de ce trop long voyage, de m'acheter de l'équipement de combat.
J’entrai donc dans cette petite boutique, sans un mot et sans un bruit, et demanda au marchand :

"la faux et la paire de botte la moins chère que vous avez"

Je repartie de cette boutique avec un faux usée et une paire de sandales, c'est mieux que rien ...

Sargas entra dans la boutique et partit directement vers le comptoir, l'air décidé. Au fur et à mesure que ses bottes frappaient le sol, Le marchand se faisait de plus en plus petit. Une fois arrivé au comptoir, Sargas croisa les bras.

- Un Lasso de base s'il vous plait.

- B-bien, monseigneur.

- Monsieur, ça ira très bien.

Le marchand posa le lasso sur le comptoir. Sargas posa une bourse de 100 Pièces d'or, et ramassa violemment le lasso avec son gantelet aux doigts pointus, abîmant le comptoir de cinq traces de griffes.

- A bientôt, marchand.

Notre héros entra dans la boutique, c'était la deuxième fois qu'il venait ici, il alla directement voir le marchand car il avait une idée bien précise de ce qu'il voulait.
Bonjour M.
Bonjour cher client, désirez-vous quelque chose ?
Oui, je souhaiterais une hache Pikot,des Kikourvit est une coiffe feuillue Pour mon utilisation personnelle.
Le marchand alla chercher la commande de Carendol, il revint avec ce qui lui avait demandé. Notre ami s'équipa de ces nouvelles affaires et enleva les anciennes, après quoi il repartit.

Marchant d'un pas décidé vers la ruelle commerçante, résolu a quitter la ville, il repéra une petite échoppe vendant des objets dont il aurait besoin, usant sur le peu de sous qui lui restait.
La bâtisse était haute, un peu mitée de l'extérieur mais très agréable a l'intérieur ! Une odeur de cuir et de ferraille l'assaillit dès qu'il poussa la porte.
"bienvenue dans mon humble magasin jeune homme" déclara le vendeur avant de le reconnaitre. "Mais, vous êtes le tavernier de la rue haute !"
"en effet" répondit en souriant Freeen. "Mais il est temps pour moi de partir. Du coup je me suis dit que je pourrais venir me fournir en matériels chez vous"
"Bien sur, bien sur ! Je suis votre serviteur dans cet endroit"
Admirant les différents objets, il repéra vite une magnifique faux. Il avait toujours eu un faible pour ces armes rapides et élégantes. Repérant vite le prix, il se rabattit sur un modèle bien moins cher.
"donnez moi une faux usée et des sandales s'il vous plait"
C'était toujours mieux que rien !

La Jeune humaine entra dans la boutique d'armes, ne sachant pas trop ce qu'elle cherchait. Cherchait-elle seulement des renseignements ou bien cherchait-elle à acheter des armes pour se défendre lors de combats ? Elle finit par se décider pour acheter des armes, cela lui serait peut-être utile au lieu d'attaquer avec ses poings. Le tout était de savoir ce qu'elle pourrait s'acheter avec l'argent dont elle disposait... Elle compta d'abord les pièces qui se trouvaient dans sa bourse puis elle examina les armes voyant laquelle elle pourrait prendre. Finalement, le choix ne poserait pas trop de problème.
-Une épée brisée, je vous prie.



Bela avait conscience qu'il s'agissait là d'une arme qui infligeait de piètre dégâts mais en attendant de pouvoir s'acheter une autre meilleure arme, l'amnésique devrait se contenter de celle-ci. Au moins, elle pourrait se défendre autrement qu'avec des coups de pieds ou du poings, c'était déjà, ça. Pour le reste, on verrait plus tard.

Avant de partir vers de nouvelle aventure et de nouvelle contrée je suis souhaité d'abord m'équiper en conséquence. Ne sachant pas vraiment quoi prendre j'entrais dans le magasin avec un oeil un peu observateur sur les fabrications humaines. Mon peuple m'avait apprit et mit en garde de ne rien prendre de trop lourd sur moi. Notre force résident dans notre esprit et notre vitesse pas dans la force brute ou la défensive.

J'avais toutefois un peu peur d'encaisser un coup vêtu d'une simple robe longue contre un monstre. Je décida donc de prendre une armure plutôt légère et qui ne gênerait en rien mes mouvements si je devais la garder en permanence sur moi.

Après un rapide coup regard dans les étalages mon choix se porta sur une des tuniques présentes. Elle avait la particularité, en plus de prolonger l'espérance de vie des aventuriers, d'être enchanté par un sort mineur de l'air afin d'augmenter ma vitesse. Une caractéristique des plus vitales pour moi.

Regardant le prix je sorti de ma bourse le montant exacte en pièce d'or que je venais tout fraîchement d’acquérir. Environ la moitié partait dans cet achat, mais j'avais bon croire que je ne le regretterais pas. J'interpella le vendeur.

- Je souhaiterais vous achetez une Air-Mure s'il vous plait ~~

Achat :

Un chat, un chat dans une vitrine, qui aurait cru que cette petite boule de poile aurait eu raison d'elle, elle ne put pas s'en empêcher, elle entra dans la boutique

" Je veut ce chat "

" 50 pie ... "

" A moi ! "

Elle lança les pièces au caissier et prit le chat, avant de parti comme une voleuse. Rien ne pouvait l'arrêter maintenant.